Dr William Makis
Chercheur en cancérologie. Médecine McGill. 110+ publications.
La plus grande clientèle mondiale de cancer à l’ivermectine !
Courriel: Info@makisw.com
Site web : https://makisw.net/about
3 Révélations Surprenantes sur l’Ivermectine pour Parkinson et Alzheimer
1. Introduction : L’espoir inattendu face aux maladies neurodégénératives
Recevoir un diagnostic de maladie de Parkinson ou d’Alzheimer est une épreuve immense, plongeant souvent les patients et leurs familles dans un sentiment d’impuissance face à une lente dégradation. Les traitements actuels visent principalement à gérer les symptômes, mais l’espoir d’une amélioration significative ou d’un retour en arrière semble souvent hors de portée.
Pourtant, au milieu de ce paysage médical complexe, le témoignage anecdotique d’un médecin fait état d’une piste surprenante, centrée sur un médicament bien connu mais utilisé dans un contexte totalement inattendu : l’ivermectine. Loin des protocoles établis, son expérience individuelle rapporte des résultats si spectaculaires qu’ils méritent d’être examinés. Cet article explore trois découvertes étonnantes basées sur ses récits, qui soulèvent autant d’espoirs que de questions.
2. Point Clé n°1 : Le « renversement » des symptômes chez les patients atteints de Parkinson
Selon le médecin rapportant ces cas, l’administration de fortes doses d’ivermectine aurait permis d’obtenir plus que de simples améliorations : il affirme avoir observé un véritable renversement des symptômes chez plusieurs de ses patients atteints de la maladie de Parkinson. Ces derniers, traités avec des doses élevées allant de 60 à 72 milligrammes, auraient montré des progrès notables en termes de mobilité et une diminution de leurs symptômes généraux.
Pour illustrer la portée de ce qu’il décrit, l’orateur relate l’histoire d’une patiente comme son exemple le plus frappant. À peine mobile malgré des doses maximales de son traitement standard, elle aurait, après seulement quelques semaines de traitement à haute dose d’ivermectine, recommencé à jouer au golf, une activité qu’elle avait dû abandonner depuis de nombreuses années. Une telle histoire, présentée comme un retournement de situation spectaculaire, incarne un espoir immense pour les familles confrontées à l’avancée de la maladie.
3. Point Clé n°2 : Des « retours » spectaculaires chez les malades d’Alzheimer avec une approche prudente
Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, les résultats anecdotiques rapportés par le même médecin sont encore plus fascinants, notamment parce qu’ils auraient été obtenus avec une approche clinique réfléchie et de faibles doses. Trois aspects clés ressortent :
- La rapidité de l’effet : Des changements positifs seraient observés « après juste quelques doses ».
- Une faible posologie justifiée : Les améliorations sont rapportées avec des doses de seulement 12 à 24 milligrammes. L’orateur précise avoir délibérément commencé avec de faibles doses pour les patients âgés, car des posologies plus élevées peuvent parfois provoquer « un peu de confusion ou une légère instabilité sur les pieds ».
- La nature des améliorations : Les patients commenceraient à reconnaître des proches qu’ils n’avaient pas reconnus depuis des années, tandis que leurs souvenirs et même leur sens de l’humour referaient surface.
Le médecin partage des exemples poignants : « Des patients alités, ne réagissant plus, qui soudainement le lendemain sont debout et mangent du pudding. » Un autre témoignage marquant concerne un patient dont l’état s’est tellement amélioré qu’il a pu quitter les soins palliatifs. Pour les familles, assister à un tel « retour » offre des « moments précieux », la sensation de retrouver un être cher qu’on pensait avoir perdu.
Ma grand-mère est de retour. Elle a retrouvé son sens de l’humour. Ses souvenirs sont revenus. Et cela, littéralement, avec quelques comprimés d’ivermectine.
4. Point Clé n°3 : La science « effacée » : Une étude introuvable sur Google
L’un des aspects les plus déroutants soulevés par l’orateur concerne l’accès à l’information scientifique. Il affirme qu’une étude préclinique sur l’ivermectine et la maladie d’Alzheimer aurait été menée au Moyen-Orient. Selon lui, la conclusion de cette étude était que l’ivermectine a un effet sur la maladie d’Alzheimer et que le sujet méritait d’être approfondi.
Cependant, cette étude serait aujourd’hui « effacée » de Google. Une recherche ne renverrait que les titres, sans aucun moyen d’accéder au PDF de l’article ou à son contenu complet. Fait encore plus étrange, le résumé de cette même étude resterait accessible via le moteur de recherche DuckDuckGo. Cette affirmation, si elle est avérée, soulève une question troublante sur la potentielle suppression d’informations et les obstacles à la recherche scientifique indépendante.
5. Conclusion : Des moments précieux et une question en suspens
Au-delà de la controverse scientifique, le fil conducteur de tous ces témoignages est profondément humain. L’ivermectine, selon ces récits, offrirait aux familles la chance de retrouver un être cher, ne serait-ce que pour des « moments précieux ». La possibilité de voir un parent retrouver sa mémoire, son humour et sa personnalité est une perspective qui transcende tout débat clinique.
Ces anecdotes, bien qu’émanant d’une seule source et n’ayant pas la valeur d’une étude clinique rigoureuse, laissent le lecteur avec une question fondamentale en suspens. Si un médicament simple, connu et peu coûteux pouvait potentiellement redonner des moments de clarté à ceux qui souffrent des maladies neurodégénératives les plus dévastatrices, pourquoi ces pistes ne sont-elles pas explorées plus ouvertement et rigoureusement ?
Le Protocole du Dr Makis à l’Ivermectine pour la Maladie d’Alzheimer : Un Guide pour Débutants
Introduction : Une Nouvelle Lueur d’Espoir
Face à la maladie d’Alzheimer, une approche surprenante et prometteuse émerge, portée par des experts comme le Dr William Makis. Il s’agit de l’utilisation de l’ivermectine, un médicament antiparasitaire bien connu, dans un protocole non conventionnel qui suscite un immense espoir parmi les familles cherchant des alternatives aux soins traditionnels. Des témoignages poignants rapportent des résultats remarquables, tels que la restauration des capacités cognitives, le retour de souvenirs que l’on croyait perdus à jamais, et un regain de vie inattendu.
« Ma grand-mère est de retour. »
Cette simple phrase, partagée par une famille, capture l’essence des transformations observées. Pour comprendre comment un tel résultat est possible, il est essentiel de se pencher sur la théorie non conventionnelle qui sous-tend ce protocole.
1. Comprendre l’Approche du Dr Makis : Cibler une Cause Profonde Potentielle
La théorie centrale du protocole du Dr Makis est que le déclin cognitif associé à la maladie d’Alzheimer pourrait être lié à des causes profondes souvent négligées par la médecine conventionnelle, comme des infections parasitaires chroniques, la présence de nanoparticules agissant comme des parasites, ou l’accumulation de toxines qu’ils produisent. Cette perspective change radicalement la manière d’aborder le traitement.
Le tableau suivant met en lumière les différences fondamentales entre les deux approches :
Traitement Conventionnel | Protocole du Dr Makis |
Objectif : Gestion des symptômes. | Objectif : S’attaquer à une cause profonde potentielle (infection). |
Outils : Médicaments coûteux et potentiellement toxiques pour les organes (foie, etc.). | Outils : Un médicament réutilisé, moins coûteux et moins toxique. |
Résultats : Amélioration limitée. | Résultats rapportés : Inversion potentielle des symptômes. |
Bien que cette théorie demeure controversée et non acceptée par la médecine conventionnelle, elle offre une nouvelle perspective sur la maladie. Comprendre cette théorie est la première étape, mais l’efficacité du protocole dépend de règles d’administration très précises.
2. Les 3 Clés Essentielles pour l’Administration de l’Ivermectine
Le Dr Makis insiste sur le fait que l’efficacité de l’ivermectine dépend entièrement de la manière dont elle est administrée. Voici les trois « règles d’or » de son protocole :
- L’Importance des Graisses pour l’Absorption Pour que l’ivermectine soit correctement absorbée par le corps (biodisponibilité optimale), elle doit impérativement être prise avec un repas riche en graisses saines, contenant au moins 40 grammes (3 cuillère à soupe) de matières grasses. Les recherches montrent que cela augmente significativement son absorption par rapport à une prise à jeun.
- Exemples de graisses saines : huile de coco, avocats, olives, beurre, fromage à la crème, viandes nourries à l’herbe, poissons gras comme le saumon sauvage.
- Éviter les Agents Liants Il est crucial de ne pas prendre de substances liantes, comme le charbon actif ou la zéolite, le même jour que l’ivermectine. Ces agents, souvent utilisés dans les protocoles de désintoxication, peuvent se lier à l’ivermectine dans le système digestif, l’empêchant d’agir et réduisant ainsi son efficacité thérapeutique.
- Comprendre les Symptômes de Désintoxication Lorsque le traitement commence à agir, les parasites ciblés meurent et libèrent des toxines (ammoniac, acide urique, et même des métaux lourds). Ce processus peut déclencher une réaction temporaire appelée réaction d’Herxheimer, qui se manifeste par des symptômes pseudo-grippaux ou de la fatigue. Loin d’être un signe négatif, le Dr Makis considère cela comme une preuve que le traitement fonctionne et suggère des stratégies complémentaires pour en soulager les symptômes.
Maintenant que ces règles de base sont comprises, voyons comment le dosage est structuré étape par étape.
3. Le Protocole de Dosage Étape par Étape
Le protocole du Dr Makis est progressif, permettant au corps de s’adapter avant d’augmenter la dose pour un effet thérapeutique maximal.
- Phase 1 (Adaptation) Commencez avec une dose de 20 à 24 milligrammes par jour. Cette dose doit être prise systématiquement avec un repas gras, sans interruption, pendant une période de deux à quatre semaines.
- Phase 2 (Augmentation) Après la phase d’adaptation, la dose est progressivement augmentée pour atteindre 35 à 37 milligrammes par jour. Cette phase dure deux semaines supplémentaires.
- Phase 3 (Dose Maximale) En fonction de leur état et de leur tolérance, les patients peuvent éventuellement atteindre une dose maximale de 50 à 60 milligrammes par jour.
- Note : Cette approche agressive est basée sur la théorie qu’un traitement antiparasitaire soutenu est nécessaire pour inverser l’impact des pathogènes. Cette plage de dosage est similaire à celle que le Dr Makis utilise pour des maladies graves comme les « turbocancers », suggérant que la charge pathogène à traiter pourrait être significative.
Ce protocole structuré est à l’origine des résultats spectaculaires rapportés par les familles.
4. À Quoi s’Attendre ? Les Résultats Rapportés par les Familles
Les témoignages des familles qui ont suivi ce protocole décrivent des améliorations qui dépassent souvent tout espoir. Plutôt qu’une simple gestion des symptômes, ils rapportent de véritables transformations :
- Amélioration Cognitive et de la Mémoire Plusieurs cas rapportent un retour spectaculaire de la clarté mentale. Des patients qui ne reconnaissaient plus leurs proches ont recommencé à les identifier, à tenir des conversations cohérentes et même à retrouver leur humour et leur personnalité d’antan.
- Réduction de l’Agitation et Amélioration du Sommeil Des familles ont observé un changement significatif dans le comportement de leurs proches, qui sont devenus beaucoup plus calmes et moins agités. Un bénéfice majeur est l’amélioration du sommeil, avec des patients dormant paisiblement toute la nuit après des mois, voire des années, d’errance nocturne.
- Retour de l’Énergie et de l’Indépendance Dans des cas qualifiés de « phénoménaux », des familles sont passées d’un diagnostic de mort imminente à voir leur proche quitter les soins palliatifs en quelques semaines seulement. Ce retour à la vie a permis à des familles de retrouver un temps précieux avec leurs êtres chers.
Comme le souligne le Dr Makis, « Les avantages ne ressemblent à rien de ce qu’ils ont pu offrir jusqu’à présent dans ces conditions. » Cependant, malgré ces témoignages encourageants, il est crucial d’adopter une approche prudente et informée.
5. Considérations Importantes et Avertissement
Avant de considérer une approche aussi non conventionnelle, il est essentiel de garder à l’esprit plusieurs points critiques :
- Statut Non Conventionnel : Ce protocole reste en dehors de la médecine traditionnelle. La théorie reliant les parasites à la maladie d’Alzheimer n’est pas universellement acceptée par la communauté médicale et pharmaceutique.
- Manque d’Essais Cliniques : Bien que les preuves anecdotiques soient fortes, des essais cliniques rigoureux font encore défaut pour valider scientifiquement ces résultats à grande échelle.
- Importance de la Consultation Médicale : Il est impératif de consulter un professionnel de la santé compétent avant d’envisager ce protocole. La gestion des réactions de désintoxication (Herxheimer) et l’ajustement progressif des dosages nécessitent un suivi éclairé pour garantir la sécurité et l’efficacité du traitement.
Conclusion : Une Nouvelle Perspective sur la Guérison
Le protocole à l’ivermectine du Dr Makis propose une nouvelle perspective radicale sur la maladie d’Alzheimer, en ciblant une cause profonde potentielle plutôt que de simplement gérer les symptômes. Les résultats anecdotiques rapportés sont spectaculaires et offrent une lueur d’espoir là où il n’y en avait souvent plus.
Si les parasites, les nanoparticules et les infections chroniques jouent effectivement un rôle dans la neurodégénérescence, alors les agents antiparasitaires comme l’ivermectine pourraient changer la donne — non seulement pour la maladie d’Alzheimer, mais pour toute une série de maladies chroniques. Pour les familles qui se sentent démunies face aux options conventionnelles, cette approche représente une nouvelle voie potentielle vers la guérison.
Livre Blanc : Analyse du Protocole à l’Ivermectine du Dr William Makis pour les Maladies Neurodégénératives
Introduction
L’objectif de ce livre blanc est de fournir une synthèse structurée et objective du protocole non conventionnel à l’ivermectine, proposé par le Dr William Makis pour le traitement de la maladie d’Alzheimer et de la maladie de Parkinson. Ce document s’adresse principalement aux professionnels de la santé et aux chercheurs qui souhaitent comprendre les fondements, l’administration et les résultats rapportés de cette approche émergente. Il est essentiel de noter d’emblée que ce protocole repose sur des théories controversées et que les preuves présentées à ce jour sont de nature exclusivement anecdotique. Néanmoins, l’intérêt qu’il suscite dans certains cercles de médecine alternative justifie une analyse détaillée de ses composantes.
——————————————————————————–
1. Fondements et Mécanisme d’Action Proposé
Pour évaluer toute approche thérapeutique, particulièrement lorsqu’elle sort des sentiers battus, il est impératif de comprendre le raisonnement qui la sous-tend. Cette section se penche sur la théorie fondamentale du protocole du Dr Makis et sur le mécanisme d’action postulé pour l’ivermectine dans le contexte des maladies neurodégénératives.
Le Dr Makis propose que l’ivermectine agit en s’attaquant à ce qu’il identifie comme une cause profonde potentielle de ces maladies : une « infection parasitaire possible ». Cette théorie, qui n’est pas acceptée par la médecine conventionnelle, postule que des parasites persistants, des « nanoparticules qui agissent comme des parasites », ainsi que les toxines qu’ils libèrent (comme l’ammoniac et l’acide urique) pourraient contribuer de manière significative au déclin cognitif et moteur observé chez les patients. L’ivermectine, en tant qu’agent antiparasitaire à large spectre, interviendrait donc directement sur cette cause supposée, plutôt que de se contenter de gérer les symptômes.
Le tableau ci-dessous met en contraste les principes de cette approche avec ceux des traitements plus conventionnels, tels que décrits dans les documents de référence.
Approche du Dr Makis | Traitements Conventionnels |
Vise une cause profonde potentielle (infections parasitaires et toxines associées). | Se concentre principalement sur la gestion des symptômes. |
Présentée comme une alternative moins coûteuse. | Implique souvent des produits pharmaceutiques aux prix élevés. |
Décrite comme une option moins toxique. | Peut présenter des risques pour le foie et d’autres organes. |
Après avoir examiné les fondements théoriques de ce protocole, il est essentiel de se pencher sur les aspects pratiques de son administration.
——————————————————————————–
2. Description Détaillée du Protocole d’Administration
L’efficacité de tout traitement, qu’il soit conventionnel ou non, dépend de son administration correcte. Le Dr Makis souligne que l’application de son protocole à l’ivermectine n’échappe pas à cette règle. Cette section détaille les posologies spécifiques et les directives cruciales pour sa mise en œuvre, telles qu’elles sont rapportées.
2.1 Posologie pour la Maladie de Parkinson
Pour les patients atteints de la maladie de Parkinson, le protocole recommande une dose élevée et soutenue, spécifiée entre 60 et 72 milligrammes par jour. Les témoignages rapportés suggèrent que cette posologie a permis des améliorations spectaculaires des mouvements et des symptômes généraux.
2.2 Posologie pour la Maladie d’Alzheimer et le Déclin Cognitif
Pour la maladie d’Alzheimer et le déclin cognitif, le protocole préconise une approche d’escalade de dose progressive. Il est à noter que les sources présentent des informations contradictoires concernant la posologie pour la maladie d’Alzheimer. Tandis qu’un protocole à faible dose (12-24 mg sur 5 jours) est mentionné pour des résultats rapides, le protocole le plus détaillé préconise une escalade de dose progressive :
- Dose initiale : Le traitement commence avec 20 à 24 milligrammes par jour, à prendre systématiquement pendant une période de deux à quatre semaines.
- Augmentation : Une fois la phase initiale terminée, la dose est augmentée à 35 à 37 milligrammes par jour pour deux semaines supplémentaires.
- Dose maximale : En fonction de l’état et de la tolérance du patient, la posologie peut être portée jusqu’à 50 à 60 milligrammes par jour. Il est noté que cette plage de dosage est similaire à celle que le Dr Makis utilise pour certains cancers avancés, qualifiés de « turbocancers ». Cette posologie maximale pour la maladie d’Alzheimer se rapproche ainsi du régime à haute dose préconisé pour la maladie de Parkinson, suggérant une convergence des stratégies thérapeutiques pour les cas neurodégénératifs jugés sévères dans ce cadre.
En plus du dosage, trois facteurs sont présentés comme cruciaux pour garantir l’efficacité du traitement :
- Biodisponibilité : Il est impératif de prendre l’ivermectine avec un repas riche en graisses saines (au minimum 40 grammes) pour assurer une absorption optimale. Les exemples de graisses recommandées incluent l’huile de coco, les avocats, les olives, le beurre, le fromage à la crème et les poissons gras comme le saumon sauvage.
- Interférences : Il est fortement conseillé d’éviter la prise de liants, tels que le charbon actif ou la zéolite, le même jour que l’ivermectine. Ces substances pourraient se lier au médicament dans le tube digestif et réduire ainsi son efficacité thérapeutique.
- Réactions d’Herxheimer : Les patients doivent être préparés à des symptômes de désintoxication, comme des états pseudo-grippaux ou de la fatigue. Le Dr Makis interprète ces réactions non pas comme un effet secondaire négatif, mais comme un signe que le traitement fonctionne en éliminant les parasites, qui libèrent des toxines en mourant.
Ces directives précises sont présentées comme étant essentielles pour obtenir les résultats observés, qui sont décrits dans la section suivante.
——————————————————————————–
3. Résultats Rapportés et Preuves Ancedotiques
Cette section examine les issues cliniques rapportées par les partisans du protocole du Dr Makis. Il est fondamental de souligner que les données disponibles proviennent exclusivement de témoignages et de cas anecdotiques partagés sur les plateformes en ligne, et non d’essais cliniques contrôlés et randomisés.
Les améliorations générales rapportées sont souvent décrites comme « spectaculaires » et « sans précédent ». Elles incluent la restauration des capacités cognitives, le retour de souvenirs perdus, une amélioration significative des mouvements chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, et même le cas d’un patient ayant pu quitter les soins palliatifs suite à une amélioration remarquable de son état.
Les six cas de témoignages suivants, partagés par le Dr Makis, illustrent la nature des résultats observés.
- Cas 1 : Démence vasculaire
- Profil du patient : Père du témoin, atteint de démence vasculaire.
- Protocole : Ivermectine pendant 5 jours à une semaine.
- Résultat rapporté : Une amélioration rapide du comportement a été notée. Le témoin rapporte : « il semble beaucoup plus calme, moins agité… moins rebelle et frustré. »
- Cas 2 : Démence d’Alzheimer
- Profil du patient : Belle-mère du témoin, 84 ans.
- Protocole : 12 mg d’ivermectine par jour pendant 5 jours.
- Résultat rapporté : Amélioration significative du sommeil. Le témoin note que le fait de dormir presque toute la nuit est « une ÉNORME amélioration par rapport au fait de se promener dans la maison toute la nuit. »
- Cas 3 : Déclin cognitif et fin de vie
- Profil du patient : Père du témoin, 82 ans, initialement en soins palliatifs.
- Protocole : Dose et durée non précisées dans le témoignage.
- Résultat rapporté : Des améliorations cognitives, énergétiques et d’appétit rapides et remarquables, menant à sa sortie du programme de soins palliatifs. Le témoin déclare : « Quel cadeau incroyable nous a été offert ! »
- Cas 4 : Démence d’apparition récente
- Profil du patient : Grand-mère du témoin, 93 ans.
- Protocole : 24 mg par jour.
- Résultat rapporté : Un retour rapide à la cohérence mentale en seulement deux jours. Le témoin a été choqué : « Elle était revenue à son moi intelligent et très cohérent mentalement. »
- Cas 5 : Démence et fin de vie
- Profil du patient : Père du témoin, 97 ans, ne reconnaissant plus sa famille.
- Protocole : 24 mg le premier jour.
- Résultat rapporté : Le lendemain, le patient était assis, mangeait, reconnaissait son fils et a recommencé à avoir des conversations cohérentes. « Sa confusion avait disparu et il riait et parlait. »
- Cas 6 : Perte de mémoire (Brésil)
- Profil du patient : Père du témoin, 82 ans, avec une perte de mémoire importante.
- Protocole : 24 mg par jour.
- Résultat rapporté : Une amélioration progressive du vocabulaire et du sens de l’orientation temporelle. « Nous avons ressenti une petite amélioration, avec plus de mots dans son vocabulaire. »
Ces témoignages, bien que convaincants pour les familles concernées, doivent être considérés dans le contexte plus large des controverses et des limitations de cette approche.
——————————————————————————–
4. Contexte, Controverses et Considérations pour les Professionnels
Pour évaluer de manière critique une approche non conventionnelle comme le protocole à l’ivermectine, il est essentiel de comprendre son contexte, les critiques à son encontre et ses limitations inhérentes. Cette section aborde ces aspects critiques pour offrir une perspective équilibrée aux professionnels.
Le positionnement de ce protocole est intrinsèquement lié à une narrative de défiance envers la médecine conventionnelle. Le Dr Makis et ses partisans suggèrent que la recherche sur les bénéfices potentiels de l’ivermectine pour les maladies neurodégénératives est activement réprimée par « Big Pharma » et le système médical établi, qui privilégieraient des traitements plus coûteux et symptomatiques.
Au-delà de cette controverse, le protocole présente plusieurs limitations fondamentales qui doivent être prises en compte par tout professionnel de la santé :
- Absence d’essais cliniques rigoureux : À ce jour, le protocole n’est validé par aucune étude clinique contrôlée, randomisée et à grande échelle. L’efficacité et la sécurité à long terme de l’utilisation de doses élevées d’ivermectine pour ces indications ne sont pas établies selon les normes scientifiques actuelles.
- Théorie non confirmée : Le postulat central liant les infections parasitaires chroniques au déclin cognitif est une théorie qui reste loin d’être universellement acceptée par la communauté scientifique et médicale.
- Nature des preuves : Toutes les preuves de succès avancées sont de nature anecdotique. Bien que les témoignages individuels soient puissants, ils ne peuvent remplacer des données cliniques robustes en raison de leur susceptibilité aux biais cognitifs, à l’effet placebo, et à l’absence de groupe contrôle permettant de distinguer l’effet du traitement de l’évolution naturelle de la maladie.
Malgré ces limitations, le Dr Makis lance un appel à la communauté médicale, affirmant sa conviction que « l’ivermectine devrait faire partie de l’arsenal de chaque médecin généraliste, médecin de famille, interniste et gériatre » pour traiter ces conditions dévastatrices.
Cette dissonance entre les résultats anecdotiques rapportés et l’absence de validation scientifique conventionnelle constitue le cœur du débat entourant ce protocole.
——————————————————————————–
Conclusion
Ce livre blanc a présenté une analyse structurée du protocole non conventionnel à l’ivermectine du Dr William Makis pour les maladies neurodégénératives. Il en ressort une approche fondée sur une théorie controversée — celle d’une cause parasitaire sous-jacente — qui propose des schémas posologiques spécifiques et dont les résultats rapportés sont, à ce jour, exclusivement anecdotiques. Les témoignages partagés décrivent des améliorations cliniques souvent spectaculaires, mais qui ne sont pas étayées par des essais cliniques rigoureux.
Ce document a pour but de fournir une vue d’ensemble informative et objective, permettant aux professionnels de la santé et aux chercheurs de comprendre les différents aspects de cette approche émergente. L’objectif n’est pas d’endosser ce protocole, mais de fournir une base de connaissances structurée pour une évaluation critique et éclairée, en reconnaissant à la fois l’espoir qu’il suscite chez certains patients et les questions fondamentales qu’il soulève sur le plan scientifique.